Par un beau et clair plus-pollué-que-ça-tu-meurs matin, nous sommes partis à la recherche de maquettes. S’il-vous-plaît, pas de questions. Comme diraient les Fréro Delavega (attention, minute culture), « Ce qui compte c’est le trajet oh ! Pas le lieu. »
Bref, nous voilà arrivés au centre commercial du Parc Olympique. J’ai enfin vu aperçu le fameux stade en forme de nid d’oiseau des Jeux Olympiques de 2008. Si, si, il est bien là, regardez bien.
Les extérieurs sont agréables (bien sûr, il faut les imaginer sans pollution mais c’est aussi cela Pékin)…
Les panneaux sont même en français (car langue olympique ?)
Pendant que certains finissent leur nuit…
…d’autres commencent leur journée. En travaillant…
… ou en jouant :
Même si ici, comme ailleurs, avant l’heure, ce n’est pas l’heure, nous sommes rentrés dans le centre commercial. Les magasins ne sont pas protégés comme le Fort Knox américain. De simples cordons pour empêcher de passer et des tissus pour recouvrir les marchandises…
Nous avons pu apprécier les tendances de la mode pékinoise de cet hiver…
Ou les intérieurs qui font rêver les chinois…
Pour finalement, trouver le fameux magasin tant convoité :
allez Isabelle! Sans rancune pour Laurent et sa quête de legos…! Tes saillies drolatiques valent le déplacement!
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