L’année dernière, nous avons déjà frôlé la grande aventure. Je dois avouer que j’étais soulagée que cela ne se concrétise pas.
Et puis un jour, le couperet de mon tourbillon de mari est tombé : « Et si on partait ? ». Je vous passe les quelques (dizaines) d’échanges sur le sujet entre nous où ma seule réaction était de fondre en larmes. Oui, je suis sensible. Non, je ne suis pas une aventurière.
J’ai donc suivi toutes les étapes classiques d’un esprit serein comme le mien :
- Déni : mon mari est complètement fou. Ce n’est pas à moi qu’il parle…
- Colère : il est DÉFINITIVEMENT fou ! NON je ne veux pas.
- Négociations (= chantage) : si je pleure à chaque fois qu’il m’en parle, il laissera peut-être tomber…
- Dépression : bon, je pleure. A chaque fois. Beaucoup.
- Acceptation : finalement, comme dirait mon amie Julie, « c’est pas si tant pire ». Peut-être même que ça va être bien. Voire hyper-méga-cool. Let’s go ! (comme dirait Mario, le copain plombier moustachu de mon cher époux).
Mais oui, ça va bien se passer ! Moi (et ma smala), on veut bien se mettre dans vos valises !!
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